Traité élémentaire de la peinture/262
Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 212).
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 212).
CHAPITRE CCLXII.
Pourquoi celui qui veut tirer quelque chose de terre, en se retirant, ou l’y ficher, hausse la jambe opposée à la main qui agit, et la tient pliée.
Celui qui veut en se retirant ficher quelque pieu en terre ou l’arracher, hausse la jambe opposée au bras qui tire, et la plie par le genou ; ce qu’il fait pour prendre son contrepoids sur le pied qui porte à terre : car sans ce pli il ne pourroit agir, et s’il n’étendoit la jambe, il ne pourroit se retirer.