Traité élémentaire de la peinture/220

Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François DetervilleDeterville, Libraire (p. 182).


CHAPITRE CCXX.

De la manière de peindre le nu.

Ne faites jamais une figure délicate et d’une taille svelte avec des muscles trop relevés et trop marqués, parce que les hommes de cette taille n’ont jamais beaucoup de chair sur les os ; mais ils sont sveltes et légers faute de chair ; et où il n’y a guère de chair les muscles ne peuvent avoir beaucoup de relief.