Traité élémentaire de la peinture/198

Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François DetervilleDeterville, Libraire (p. 167-168).


CHAPITRE CXCVIII.

Comment un homme qui retire son bras étendu, change l’équilibre qu’il avoit quand son bras étoit étendu.

Un bras étendu envoie le centre de l’équilibre du corps de l’homme sur le pied qui porte le poids entier du corps, comme il paroît dans ceux qui, avec les bras étendus, marchent sur la corde sans autre bâton qui leur serve de contrepoids.