« Page:L’espion libertin, 1882.djvu/57 » : différence entre les versions

 
(Aucune différence)

Dernière version du 21 octobre 2019 à 15:03

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 51 —

ADÈLE

Palais-Égalité, n° 121.

Quelle distraction ! j’oubliais que la petite Adèle est entretenue : c’est une véritable perte pour les connaisseurs. Mais comme la tranquillité n’a point d’appas pour toutes les femmes qui exerçent le métier de coquine, nous espérons, au premier jour, revoir l’aimable Adèle.

Nous nous empresserons d’en faire part aux amateurs du bon goût.


L’espion libertin séparateur de paragraphe
L’espion libertin séparateur de paragraphe

ADÉLAÏDE

Chez madame Deval, Palais-Égalité, n° 160.

C’est cette Adélaïde qui, pour surcroît de malheur, alla alternativement de la Force à Pélagie ; de là aux Capucins où elle resta la cinquantaine bien comptée. Cela n’empêche point qu’un mal incurable circule dans ses veines, et qu’elle ne le procure à ces jeunes étourdis qui, plus légers que le vent, donnent dans le pot au noir, et, par ce moyen, vous empoisonne en donnant la somme de trois francs.