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ment pratiquée, — cela est fréquent — ou bien se répandront-elles dans toute la personnalité pour la bronzer et la viriliser tout entière ? Magnifique point d’interrogation qui se pose devant l’éducateur.

Comment s’y prendra-t-il ?… Si vous voulez le savoir, venez suivre le cours, la prochaine fois.

La vieille géographie des golfes, des caps et des chaînes de partage n’est plus étiquetée d’une manière d’une manière conforme aux caractéristiques du temps présent. Si même les leçons du lieutenant Trystram n’avaient pas été remarquables par l’élégance impeccable du langage et la riche coloration des exposés, elles eussent marqué par la nouveauté de la division. Océans, voies navigables, chemins de fer transcontinentaux, voilà un triptyque qui eût paru hier encore très incomplet, trop spécial et dans lequel la guerre semble avoir soudainement fait rentrer tout ce qu’il importe de connaître.

J’en arrive maintenant au bloc des neuf grandes conférences historiques. C’est, comme, vous en souvenez, M. le professeur Lugeon qui les a inaugurées en présence de S. E. l’ambassadeur de France qu’entouraient les autorités municipales et cantonales, le recteur de l’université, les chefs militaires, les consuls étrangers… Permettez que je saisisse l’occasion d’ouvrir une parenthèse pour dire à tous notre gratitude. La présence de jour-là de M. le syndic Maillefer, de M. le conseiller d’État Chuard, l’assiduité de M. le colonel Bornand et de M. le recteur Chavan, sans oublier celle de M. le ministre du Brésil et de M. le maréchal Hermès da Fonseca, nous ont vivement touchés. Et aujourd’hui, messieurs, c’est avec les mêmes sentiments que nous saluons les repré-