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chasse ? tu crains que je ne te maudisse ? Oh ! mon Dieu ! est-ce possible !
tu crains que je ne te maudisse ? Oh ! mon Dieu ! est-ce possible !
Et ce qui se passe dans ton cœur ne te révèle-t-il pas l’amour dont le
Et ce qui se passe dans ton cœur ne te révèle-t-il pas l’amour dont le
mien est rempli ? »
mien est rempli ? »
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rendre ce que j’éprouve ; et, grâce au ciel, je ne comprends pas encore
rendre ce que j’éprouve ; et, grâce au ciel, je ne comprends pas encore
toute l’étendue de mon bonheur, car, si je le comprenais, il me semble
toute l’étendue de mon bonheur, car, si je le comprenais, il me semble
que j’en mourrais ! »
que j’en mourrais ! »<section end="xli" /><section begin="xlii" />


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Des pas qui se firent entendre à peu de distance les arrachèrent tous

XLII.

CONTRE-TEMPS.


Des pas qui se firent entendre à peu de distance les arrachèrent, tous
les deux à cette enivrante divagation. La princesse se leva, un peu
les deux à cette enivrante divagation. La princesse se leva, un peu
effrayée de l’approche de ces promeneurs, et, saisissant le bras de
effrayée de l’approche de ces promeneurs, et, saisissant le bras de
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« Ah ! pardonne-moi, mon Dieu, disait-il encore dans son cœur ; jusqu’à ce
« Ah ! pardonne-moi, mon Dieu, disait-il encore dans son cœur ; jusqu’à ce
jour je me croyais quelque
jour je me croyais quelque chose.