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==Note bibliographique==
 
# Ouvrage cité dans la ''Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour'', T. 3, col. 1313 : « Vénus en rut, ou la Vie d’une célèbre libertine, A Luxurville, 1770, 1790, 1791, 2 volumes in-18, figures. — Catalogue Noël; catalogue de Dresde, n° 515. — 1794, Tumin, 1880, avec 9 figures libres, rel. maroquin, 200 fr. — '''Interlaken, s. d. (1888)''', in-12 broché, 20 fr. Tumin, 1882. Une partie du premier volume a été réimprimée sous le titre : La belle Libertine (Campbell).{{brn|1}}
# Ouvrage cité dans l’''Enfer de la Bibliothèque nationale'' à la cote 47 : « Vénus en rut, ou Vie d’une célèbre libertine. (C’est Vénus toute entière à sa proie attachée : Phèdre de Racine). Tome premier [second]. Sur l’imprimé de Bruxelles, chez Hercule Tapefort, imprimeur des Dames, 1771, — A Interlaken, chez William Tell, l’an 999 de l’indépendance suisse. Réédition. 2 tomes en 1 volume numéroté à la suite, 199 pp. Papier de Hollande. »{{brn|1}}
# Ouvrage décrit par Yves Benot dans le ''Dictionnaire des Œuvres érotiques'', Mercure de France, 1971 : « ''VÉNUS EN RUT ou Vie d’une célèbre libertine''. Roman anonyme publié au XIX<sup>e</sup> siècle sous la date évidemment fictive de 1771. — C’est la prétendue autobiographie d’une certaine Rosine, qui devrait avoir vingt-huit ans au terme de son récit, soit vers 1784 ou 1785, puisque sa dernière aventure consiste à se faire foutre dans la nacelle d’un ballon par un émule de Blanchard. Auparavant, la vue de Rosine est celle d’un être qu’on pourrait appeler, en parodiant Jarry. la surfemelle. On observe cependant une certaine progression dans cette histoire où le nombre de coups à chaque rencontre ou à chaque journée est indiqué de telle manière que, dès les premières scènes, on est pour le moins, étonné des prodigieuses capacités tant de Rosine que de ses amants — ou, comme il est dit, ses fouteurs. Progression dans la mesure où l’on passe de la classique succession d’amants individuels, chacun à leur heure ou dans leur pièce, à des parties multiples et de plus en plus compliquées. Déjà, Rosine met en partage ses amants avec sa servante Fanchette, complice et presque égale. Mais à Avignon, la rencontre d’un prélat italien, plus tard retrouvé à Rome, donne l’occasion d’un tableau vivant à quatre — le quatrième étant le jeune Honoré que Rosine a formé. À Rome, ce sera une vis sans fin à cinq. À Lyon, Rosine participe à un concours d’amour contre deux autres libertines ; les trois étant attaquées par six hommes tour à tour, etc. On en vient à soupçonner des intentions parodiques dans cette revue, un peu longue, mais variée, des inventions érotiques. Y. B. »
 
--[[Utilisateur:Cunegonde1|Cunegonde1]] ([[Discussion utilisateur:Cunegonde1|d]]) 14 août 2019 à 16:11 (UTC)
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