« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Lanterne des morts » : différence entre les versions
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<i>negotio perambulante in tenebris</i> dont parle le Psalmiste; enfin de convier les vivants
à la prière pour les morts.» Quant à l'idée qu'on attachait à ces monuments,
au XII<sup>e</sup> siècle
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par exemple, M. Lecointre nous paraît être dans le vrai; mais nous n'en sommes pas moins *[?disposés} à croire que ces colonnes appartiennent, par la tradition, à des usages ou à des superstitions
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[[Image:Illustration_fig2_6_166.png|center|400px]]
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d'une très-haute antiquité<span id="note8"></span>[[#footnote8|<sup>8</sup>]]. Il est à regretter qu'il ne nous reste plus de lanternes
des morts antérieures au XII<sup>e</sup> siècle; il n'y a pas à douter de leur
existence, puisqu'il en est parfois fait mention, entre autres à la
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[[Image:Illustration_fig3_6_167.png|center|400px]]
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bataille livrée entre Clovis et Alaric, mais nous ne connaissons pas la forme de
ces premiers monuments chrétiens.
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[[Image:Illustration_fig4_6_168.png|center|400px]]
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Une des lanternes des morts les mieux conservées, datant du XII<sup>e</sup> siècle,
se voit à Celfrouin (Charente). La petite porte qui servait à introduire,
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