« Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 6.djvu/501 » : différence entre les versions

Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 9 : Ligne 9 :
27. « Vous lui donnerez des leçons sur la manière d’en être jalouse: je ne plains point les dames de cette humeur, elles trouvent à subsister partout. » (''Édition de'' 1754.)
27. « Vous lui donnerez des leçons sur la manière d’en être jalouse: je ne plains point les dames de cette humeur, elles trouvent à subsister partout. » (''Édition de'' 1754.)


28. « Guitaud m’écrit de trois lieues de Fontainebleau. » (Éditions de 1737 etde 1754.)
28. « Guitaud m’écrit de trois lieues de Fontainebleau. » (''Éditions de'' 1737 ''et de'' 1754.)


29. « Dans une belle maison de la nouvelle mariée. » {Ibidem.) Louis-Urbain le Fèvre, appelé alors M. de Boissy (voyez le commencement de la lettre au comte de Guitaut du 17 juillet suivant), fils aîné de Caumartin et de sa première femme, venait d’épouser, le 6 juin précédent, Marie-Jeanne Quantin de Richebourg, :6.l!e.unique de Charles Quantin, seigneur de Richeboarg et de Saint-Ange, maitre des requêtes, et de Marie Feydeau. Elle mourut en 1709, à l’âge de cinquante ans, et son mari le 2 décembre 1720.
29. « Dans une belle maison de la nouvelle mariée. » (''Ibidem''.) - Louis-Urbain le Fèvre, appelé alors M. de Boissy (voyez le commencement de la lettre au comte de Guitaut du 17 juillet suivant), fils aîné de Caumartin et de sa première femme, venait d’épouser, le 6 juin précédent, Marie-Jeanne Quantin de Richebourg, fille unique de Charles Quantin, seigneur de Richebourg et de Saint-Ange, maître des requêtes, et de Marie Feydeau. Elle mourut en 1709, à l’âge de cinquante ans, et son mari le 2 décembre 1720.


30. Vers d’une ancienne chanson sans doute, sur l’air de laquelle Coulanges a fait plusieurs couplets. Ce vers ne se trouve que dans notre manuscrit.
30. Vers d’une ancienne chanson sans doute, sur l’air de laquelle Coulanges a fait plusieurs couplets. - Ce vers ne se trouve que dans notre manuscrit.


3r. A côté des mots notre ami, Grouvelle et les éditeurs qui l’ont suivi ont mis entre parenthèses Pompone.
3r. A côté des mots ''notre ami'', Grouvelle et les éditeurs qui l’ont suivi ont mis entre parenthèses ''Pompone''.

̃– 493

1680