« Page:Erckmann-Chatrian - Contes et romans populaires, 1867.djvu/21 » : différence entre les versions
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La mère Windling ne dédaignait pas le wolxheim ; elle but à la santé du docteur Mathéus, comme un véritable hussard, puis elle le débarrassa sans façon de sa grande capote et la suspendit, avec son large feutre, à l’un des clous de la muraille. |
La mère Windling ne dédaignait pas le wolxheim ; elle but à la santé du docteur Mathéus, comme un véritable hussard, puis elle le débarrassa sans façon de sa grande capote et la suspendit, avec son large feutre, à l’un des clous de la muraille. |