« La Dame aux camélias (théâtre)/Acte IV » : différence entre les versions
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==
{{acte|IV}}
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{{personnage|Le docteur.|c}}
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/151]]==
Non.
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{{personnage|Prudence.|c}}
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/152]]==
Il gagne toujours.
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Toujours.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/153]]==
Olympe.|c}}
Donnez-moi dix louis, Saint-Gaudens, que je joue un peu.
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{{didascalie|Il sort.}}
{{personnageD|prudence|c|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/154]]==
à Gaston.}}
Te rappelles-tu l’histoire du fiacre jaune ?
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Voyons, messieurs, joue-t-on, ou ne joue-t-on pas ?
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/155]]==
n.|c}}
Oh ! que tu es assommant, toi ! Crois-tu pas que je vais m’user les doigts à te retourner des cartes pour cent sous que tu
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Ils sont jolis.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/156]]==
e.|c}}
Tiens ! voilà Armand ?
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Ah eh bien ! je la verrai alors.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/157]]==
e.|c}}
Comme vous dites cela !
Ligne 455 ⟶ 468 :
{{personnage|Prudence.|c}}
Il y a des hommes faits exprès pour cela. Bref ! il
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/158]]== en est arrivé à ses fins ; il lui a racheté ses chevaux, ses bijoux, et lui a rendu tout son luxe d’autrefois… Ah ! pour heureuse, elle est heureuse.
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Je fais dix francs !
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/159]]==
{{scène|III}}
Ligne 563 ⟶ 579 :
Elle-même
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/160]]==
ve|c}}
Quand ?
Ligne 606 ⟶ 624 :
{{personnage|Armand.|c}}
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/161]]==
La voilà !
Ligne 665 ⟶ 684 :
Oui.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/162]]==
e.|c}}
De moi ?
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en face de vous.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/163]]==
e.|c}}
Vous me trouvez changée, n’est-ce pas ?
Ligne 783 ⟶ 806 :
Voyons, ne pleurez pas ! Pourquoi êtes-vous venue ?
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/164]]==
e.|c}}
Est-ce que je suis ma maîtresse ? et, d’ailleurs, est-ce qu’il
Ligne 837 ⟶ 862 :
Qu’est-ce qu’on jouait ce soir à l’Opéra ?
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/165]]==
ille.|c}}
La Favorite.
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Mon cher, je compte faire ma fortune ce soir, et quand j’aurai gagné beaucoup d’argent, je m’en irai vivre à la campagne.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/166]]==
lympe.|c}}
Seul ?
Ligne 949 ⟶ 978 :
Du côté que vous ne prendrez pas.
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/167]]==
Armand.|c}}
Cent louis à gauche.
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Soyez tranquille, monsieur, je profiterai de votre bonne volonté !
{{personnageD|Olympe|c|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/168]]==
prenant le bras d’Armand.}}
Tu as une rude veine, toi.
Ligne 1 058 ⟶ 1 091 :
Voyons, tâchons d’être calme, il faut qu’il continue de croire
ce qu’il croit. Aurai-je la force de tenir la promesse que
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/169]]== j’ai faite à {{M.|Duval}} ? Mon Dieu ! faites qu’il me méprise et me haïsse, puisque c’est le seul moyen d’empêcher un malheur… Le voici !
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Que je reparte ?
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/170]]==
rite.|c}}
Oui ! que vous retourniez auprès de votre père, et cela tout
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Que vous importe que je vive ou que je meure ! Avez-vous
eu cette crainte, quand vous m’avez écrit : Armand, oubliezmoi, je suis la maîtresse d’un autre ? Que vous importait alors
que je mourusse de
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/171]]==
cet amour ! Si je ne suis pas mort, madame,
c’est qu’il me restait à me venger. Ah ! vous avez cru que
cela se passerait ainsi ! que vous me briseriez le cœur, et que
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{{personnage|Marguerite.|c}}
Eh bien ! oui, j’ai fait tout cela. Oui, je suis une infâme
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/172]]==
et
misérable créature, qui ne t’aimais pas ; je t’ai trompé. Mais
plus je suis infâme, moins tu dois te souvenir de moi, moins
Ligne 1 245 ⟶ 1 286 :
{{personnage|Marguerite.|c}}
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/173]]==
Armand, je donnerais ma vie pour une journée du bonheur
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Marguerite Gauthier !…
{{personnage|
==[[Page:Dumas fils - Théâtre complet, 1898 - Tome I.djvu/174]]==
d.|c}}
Oui ! Marguerite Gauthier. Savez-vous ce qu’elle a fait ?
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Décidément, monsieur, vous êtes un lâche.
{{didascalie|Le docteur se précipite au
=== no match === cours de Marguerite.}} |