« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1903.djvu/54 » : différence entre les versions

aucun résumé des modifications
→‎Page non corrigée : Page créée avec « fut résolue à ne plus poursuivre qu’une politique océanienne, elle pourrait trouver avantageux de joindre ses navires aux flottes de ses deux sœurs ; encore peut-... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 4 : Ligne 4 :
encore peut-on se demander de quel secours ces
encore peut-on se demander de quel secours ces
flottes lui seraient en Indo-Chine ou à Madagascar ?
flottes lui seraient en Indo-Chine ou à Madagascar ?
Mais l’Italie ne se trouvera pas de longtemps
Mais l’Italie ne se trouvera pas de longtemps
en mesure de construire un nombre de croiseurs
en mesure de construire un nombre de croiseurs
et de cuirassés proportionné à l’étendue de ses
et de cuirassés proportionné à l’étendue de ses
Ligne 12 : Ligne 12 :
dans le Pacifique sur les escadres russes et à vivre
dans le Pacifique sur les escadres russes et à vivre
en bons termes, sur toute la surface du globe,
en bons termes, sur toute la surface du globe,
avec les escadres anglo-saxonnes... Une alliance
avec les escadres anglo-saxonnes… Une alliance
défensive aurait encore moins de raison d’être ; les
défensive aurait encore moins de raison d’être ; les
trois puissances ont-elles donc les mêmes adversaires
trois puissances ont-elles donc les mêmes adversaires
Ligne 23 : Ligne 23 :
notre amitié présente avec l’Espagne, rien de
notre amitié présente avec l’Espagne, rien de
tout cela n’implique de « protectionnisme latin »
tout cela n’implique de « protectionnisme latin »
moral ou matériel et n’entrave notre liberté audelà
moral ou matériel et n’entrave notre liberté au-delà
des bornes raisonnables.
des bornes raisonnables.
154 978

modifications