« Page:Daveluy - Les aventures de Perrine et de Charlot, 1923.djvu/13 » : différence entre les versions

mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 12 : Ligne 12 :
prend sur ses genoux.
prend sur ses genoux.


{{Personnage|Perrine|c}}
{{Personnage|perrine|c}}
Il fait beau. Si tu le veux, mon gros chéri, nous irons tous deux, faire une longue promenade.
Il fait beau. Si tu le veux, mon gros chéri, nous irons tous deux, faire une longue promenade.


{{Personnage|Charlot|suffix=, <i>battant des mains</i>|c}}
{{PersonnageD|charlot|c|''battant des mains.''}}
Si je veux ! Oh ! oui, oui. Et je cueillerai des violettes pour toi, Perrine. Il y en a, c’est sûr, dans le petit bois.
Si je veux ! Oh ! oui, oui. Et je cueillerai des violettes pour toi, Perrine. Il y en a, c’est sûr, dans le petit bois.


{{Personnage|Perrine|c}}
{{Personnage|perrine|c}}
Ce sera très gentil, mon mignon.
Ce sera très gentil, mon mignon.
{{didascalie|(Elle l’embrasse.)}}
{{didascalie|(Elle l’embrasse.)|c}}


{{Personnage|Charlot|c}}
{{Personnage|charlot|c}}
Et puis… Perrine ?
Et puis… Perrine ?


{{Personnage|Perrine|c}}
{{Personnage|perrine|c}}
Dis, Charlot, que veux-tu encore ?
Dis, Charlot, que veux-tu encore ?


{{Personnage|Charlot|c}}
{{Personnage|charlot|c}}
Si nous allions chez {{M.}} le curé au retour. J’ai vu ce matin, sur les fenêtres du presbytère, deux grands pots de confitures. Peut-être que l’on m’en fera goûter si tu dis
Si nous allions chez {{M.}} le curé au retour. J’ai vu ce matin, sur les fenêtres du presbytère, deux grands pots de confitures. Peut-être que l’on m’en fera goûter si tu dis
que je suis sage. Et tu le diras n’est-ce pas, petite soeur ?
que je suis sage. Et tu le diras n’est-ce pas, petite soeur ?