« Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, IV.djvu/379 » : différence entre les versions
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la R.F., ou quelque hôte royal, ou bien encore tel prétendant… |
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L’hôtesse au poète : |
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— Monsieur, excusez-moi, |
— Monsieur, excusez-moi, je… Mon Dieu, je vous prenais pour un voleur. |
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— C’est tout pardonné. |
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Mais au fond, comme il était flatté, à cause de Villon, |
Mais au fond, comme il était flatté, à cause de Villon, d’être pris pour un « mauvais garçon » ! Il avait bien sur sa mine peu lamartinienne, été pris, jadis et naguère pour ceci et pour cela, entre autres fois, pour un assassin. Seulement l’interrogatoire ayant démontré que le coupable venait d’être guillotiné, l’affaire n’eut DONC pas de suite. Mais se voir considéré comme un voleur, ça c’était du nanan. |
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Et voilà un homme « le cœur à |
Et voilà un homme « le cœur à l’aise » et dégrisé, car était-il gris ! |
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S’en souvient-il, et qui le sait ? |
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Cependant le landau stoppait devant le perron de |
Cependant le landau stoppait devant le perron de l’hôtel. |
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Le commissaire : |
Le commissaire : |
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— Veuillez monter. Et |
— Veuillez monter. Et c’est ce bon docteur qui va être surpris d’une telle arrivée ''officielle'' dans nos murs ! |
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L’hôtesse avec mille sourires : |
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— Pardon encore, Monsieur. Mais vous êtes si drôlement |
— Pardon encore, Monsieur. Mais vous êtes si drôlement mis… Et le poète, chatouillé cette fois dans ''son'' {{tiret|dan|dysme}} |
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