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<section begin="s1"/><poem>Et comme il prend mon cueur dedans sa nasse,
nz î. E S AM O V RS
Qui de pensée, à mon dam, l'entretient.


O le grand mal, quand une affection
ians la mort dans le fin.
Peint nôtre esprit de quelque impression !
J'enten alors, que l'Amour ne dedaigne


Suttilement l'engraver de son trait :
De leur main
Toujours au cœur nous revient ce portrait,
Et maugré nous, toujours nous acompaigne.
</poem>
<section end="s1"/>
<section begin="s2"/>MVRET.’ V ."- 1L


Deundesym. ) Il môtre pure"! exempÏe, que 'nfl
plombaient leur poitrine nue:
Amour a vnefois engraué la beauté d’vne dam: n;
le cœur d'vn amant,il et! imyefpiblegpres,qu'cllo s’q <‘
efface.


<section end="s2"/>
Et tordant leurs cheueus gris.
<section begin="s3"/>{{Centré|CHANSON.}}<section end="s3"/>

De Ions cris

pleur oient, qu'ils nelauoient creüe.

Mais leurs cris n'eurent pouuoir
D'emouuoir

Les Grecs fi charges de proie,
Qtfils ne laijfcrentfinon,

Que Le nom

De ce qui fut iadis T roie.

«

ySf infi pour ne croire pat.
Quand tu m'as
Prédit ma peine future:

Et que te n'aurois en don.
Pour guer don

De t' aimer ,que la mort dure:

*>

__ ».

A Vi l 1 -

......

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i lît

v-' v '

Vn grand ir afier fans repos.

Et mes os,

Et mes ner fs, cr moniteur hrule:

Et pour t' amour i'ai receu . . v

Plus de feu.

Que ne fit Trote incrédule .

fltïî V* A