« Billets de la folie » : différence entre les versions

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Aménagements divers
Le plus grand de nos grands professeurs
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::::::::À mon vénéré Jakob Burckhardt
 
C'était la petite plaisanterie pour laquelle je me pardonne d'avoir créé un monde. Maintenant vous êtes ― tu es ― notrele plus grand trèsde grandnos grands maîtreprofesseurs : car moi, avec Ariane, j'ai seulement à être la balance d'or de toutes choses, nous avons en chacun de nous de Tels éléments qui sont au-dessus de nous ...
 
::::::::Dionysos.
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''Deuxième plaisanterie''. Je salue les Immortels Monsieur Daudet appartient aux quarante.
 
::::::::::::::Astu
 
Ce qui est désagréable et embarrassant pour ma modestie, c'est qu'au fond je ''suis'' tous les grands noms de l'histoire ; même avec les enfants que j'ai mis au monde, j'en suis à examiner avec une certaine méfiance, si tous ceux qui entrent ''dans'' le royaume de Dieu ne viennent pas aussi ''de'' Dieu. Cet automne, sans étonnement, j'ai assisté par deux fois à mon propre enterrement, d'abord comme comte Robilant (non, c'est mon fils, dans la mesure où je suis Carlo Alberto, ma nature d'en-bas), ensuite comme Antonelli. Cher Monsieur le Professeur, vous devriez voir ce monument ; puisque je suis totalement inexpérimenté dans mes propres créations, je vous serais reconnaisant de vos critiques, sans pouvoir vous promettre de les mettre à profit. Nous autres, artistes, nous sommes inéducables.