« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Menuiserie » : différence entre les versions
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Ligne 260 :
dans les provinces de l'Est et sur des vignettes de manuscrits ou peintures
du XV<sup>e</sup> siècle<span id="note7"></span>[[#footnote7|<sup>7</sup>]]. Le système se compose de tringles de sapin de
18 lignes d'équarrissage (0
mi-bois les écharpes B. Sur celles-ci, les écharpes C, D et E; sur ces
derniers, les montants F, toujours à mi-bois. Tout l'ouvrage est maintenu
entre un châssis G, H, I, fait de chevrons de 3 pouces d'épaisseur (0
sur 3 pouces et demi (0<sup>m</sup>,095[**^m]). Au droit de chaque assemblage à
mi-bois,
Ligne 988 :
inférieur du châssis A avec les jets d'eau à l'extérieur.
Nous avons tracé à une échelle double, c'est-à dire à 0
en A', la section sur <i>g h</i>; en F, la section sur <i>i k</i>; en G, la section sur <i>l m</i>;
en H, la section sur <i>m n</i>, et en I la section sur <i>o p</i>. En L est donnée la section
Ligne 1 175 :
<span id="footnote12">[[#note12|12]] : D'une maison à Abbeville, rue du Moulin-du-Roi.
<span id="footnote13">[[#note13|13]] : Nous avons souvent vu des miniatures de manuscrits du XV
sont représentés. Il existe dans les stalles de l'église de Montréale (Yonne) un bas-relief
représentant un menuisier taillant un petit pinacle au moyen de l'outil figuré
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