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Abelard et Heloise
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1 f4 LE s N u E E s. a >rochent. ——— Enfant allume la lam e et a orte mon PP ) P J P registre, pour que, l’ayant en main, je lise à combien de gens je dois, et que je suppute les intérêts. Voyons, que dois;-je? Douze mines à Pasias. Pourquoi douze mines à Pasias? Pourquoi ai·je fait cet emprunt? Parce que i’ai acheté Koppatias. Malheureux que je suis, pourquoi n’ai— je pas eu plutôt l’œil fendu par une pierre! rninirrinès, rêvant. Philon, tu triches: fournis ta course toi·même. · srnnrsmpts. Voila, voilà le mal qui me tue; même en dormant, il rêve chevaux. ` ri-iinivrioès, rdvmlt. Combien de courses doivent fournir ces chars cle guerre? srnnsxxoès. ‘ Cest à moi, ton père, que tu en fais fournir de nom- breuses courses! Voyons quelle dette me vient après Pa- sias. Trois mines à Amynias pour un char et des roues. vi-xioirrioiës, rêvant. Emmène le cheval a la maison, après l’avoir roulé. srnE1>s1A¤ùs. . Mais, malheureux, tu as déjà fait rouler mes fonds! Les uns ont des jugements contre moi, et les autres disent qu’ils vont prendre des sûretés pour leurs intérêts. Pmnirvioès, éveillé. Eh! mon père, qu’est—ce qui te tourmente et te fait te retourner toute la nuit?