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n’ont encore essayé de distinguer les états morbides |
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de l`intelligence‘ où vient jïnir un noble enthousiasme |
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de ceux qui sont les châtiments de Pambition, de l'ava· V |
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riche ou de la débauche. |
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Z 30. Laissant de côté pourle moment toute question; |
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de cette nature, mes jeunes lecteurs doivent retenir |
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en somme, ce fait que durant tout le rv° siècle, des ' |
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multitudes d”hommes dévoués ont mené des vies de |
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pauvreté et de misère extrême pour s’efforcer d’arri· |
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ver à une connaissance lus intime de 1`Ètre et de la |
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Volonté de Dieu. Nous n’avons aucune lumière qui |
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nous permette de savoir utilement ni ce qxfils sont- |
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frîrent ni ce qu’ils apprirent. Nous ne pouvons pas ap· |
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précier Pinfluence édifîante ou réprobatrice de leurs |
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l. La conclusion hypothétique de Gibbon relativement aux |
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elïets de la mortification et la constatation historique qui suit |
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doivent être remarquécs comme contenant déjà. tous les sys- |
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tèmes des philosophes ou des politiques modernes qui ont, |
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depuis, changé les monastères d’lta1ie en baroques et les églises |
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de France en magasins. « Ce— martyre volontaire a forcément |
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détruit graduellement la sensibilité, aussi bien de Pesprit que |
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' du corps; cer on ne peut admettre que les fanatiques qui se tor- |
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_turent eux—mêmes soient capables d‘aucune affection vivo pour |
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le reste de 1`espèce humaine. Une sorte cfinsensibililé crauclle ce |
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`carac!e'r·Zsé les moineis de toute époque et de tout pays. » A |
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· . Combien de pénétration et de jugement, dénote cette sentence, |
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apparaîtra, j’espère, au lecteur, à mesure que je déroulerai devant |
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lui lfhistoire véritable de sa foi; mais étant moi-mème, je crois, |
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un des derniers témoins dâ- la vîeè qeclpse telle qu`ello existait |
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encore au commencement e ce si c e e puis renvoyer en por- |
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trcit parlait et digne de fol dans le lettre comme dans Pesprit |
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qui en est donné par Scott dans Yintroduction du Monastère; |
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quent à moi je uis dire que les sortes de caractères les plus . |
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doux, les plus ruflinés, les plus aimables, au sens le plus profond |
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du mot,·que j’cie jamais connus, ont été ou ceux de moines, ou |
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. ceux de serqiteurs uyant été élevést dîns la loi cetlîoliquc. Et |
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quand je ormulais ce jugemen e ne conne ssuis pas |
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Mrs Alexendefs Edwige (Note de la revision de 1885); -—- (Note |
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de l'Auteur.) " ' _ · |