« Page:La Nouvelle Revue - 1899 - tome 117.djvu/449 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{t2|LE ROMAN D’UN RALLIÉ<ref name=p116>Voir la ''Nouvelle Revue'' |
<section begin="s1"/>{{t2|LE ROMAN D’UN RALLIÉ<ref name=p116>Voir la ''Nouvelle Revue'' des 15 février, {{1er}} et 15 mars 1899.</ref>}} |
||
{{brn|1}} |
{{brn|1}} |
||
{{séparateur}}{{brn|2}} |
{{séparateur}}{{brn|2}} |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
{{c|''(Suite.)''}}{{brn|2}}{{séparateur}} |
{{c|''(Suite.)''}}{{brn|2}}{{séparateur}} |
||
{{brn|5}} |
{{brn|5}} |
||
<section end="s1"/> |
|||
Elle prit le gouvernail d’une main ferme, se 1nit au courant de |
<section begin="s2"/>Elle prit le gouvernail d’une main ferme, se 1nit au courant de |
||
la fortune de son fils et de la sienne et les administra comme un |
la fortune de son fils et de la sienne et les administra comme un |
||
intendant fidèle. La lecture occupa une part considérable de son |
intendant fidèle. La lecture occupa une part considérable de son |
||
Ligne 31 : | Ligne 32 : | ||
Mais les paysans qui, devant elle, se sentaient intimidés, gar- |
Mais les paysans qui, devant elle, se sentaient intimidés, gar- |
||
<section end="s2"/> |