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{{c|lu à la séance publique de l’académie des sciences du 27 mars 1820.|sc}}
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{{c|{{sc|Par M. le Baron Cuvier}}|fs=120%}}
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{{sc|Ambroise-Marie-François,Joseph PALISOT, baron de Beauvois}}, Membre de l’Académie des Sciences de l’Institut royal, et de plusieurs autres sociétés savante, est encore au nombre de ces hommes, dont la vie prouve à quel point l’étude assidue de la nature est une source plus assurée de bonheur particulier ; combien elle offre des chances plus probables de se rendre utile au public ; combien même, lorsqu’elle conduit à des malheurs, elle donne plus de ressources pour les supporter, que cette carrière orageuse des affaires, où il est si rare de voir des hommes assez forts ou assez favorisés de la fortune, pour ne pas devenir les jouets des événements, ou pour n’avoir jamais à se reprocher des fautes,