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ces prétendus rochers ne paraissent que sur les cartes<ref>Le capitaine de Voutron, commandant le Saint-François, écrivait de la Rochelle, en 1716 : « J’ai été sept fois en Canada, et quoique je m’en sois bien tiré, j’ose assurer que le plus favorable de ces voyages m’a donné plus de cheveux blancs que tous ceux que j’ai fait, ailleurs. Dans tous les endroits où l’on navigue ordinairement, on ne souffre point et l’on ne risque pas comme en Canada. C’est un tourment continuel de corps et d’esprit. J’y ai profité de l’avantage de connaître que le plus habile ne doit pas compter sur la science. {{corr||»}} —
ces prétendus rochers ne paraissent que sur les cartes<ref>Le capitaine de Voutron, commandant le Saint-François, écrivait de la Rochelle, en 1716 : « J’ai été sept fois en Canada, et quoique je m’en sois bien tiré, j’ose assurer que le plus favorable de ces voyages m’a donné plus de cheveux blancs que tous ceux que j’ai fait ailleurs. Dans tous les endroits où l’on navigue ordinairement, on ne souffre point et l’on ne risque pas comme en Canada. C’est un tourment continuel de corps et d’esprit. J’y ai profité de l’avantage de connaître que le plus habile ne doit pas compter sur la science. {{corr||»}} —
Margry : ''Les Navigations Françaises'', p. 324.</ref>. J’ai lu quelques descriptions des
Margry : ''Les Navigations Françaises'', p. 324.</ref>. J’ai lu quelques descriptions des
ports, des rades et des côtes de ces îles et des mers circonvoisines, faites par des Portugais
ports, des rades et des côtes de ces îles et des mers circonvoisines, faites par des Portugais