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· mnowerxom, H i |
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· nature', avec ce que le concept dela liberté contient |
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pratiquement, un principe don_t le concept insuiîi- |
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sant, il estvrai, au point de vue théorique etau peint |
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de vuepratique, à en donner une connaissance , et |
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n’ayant point par conséquent de domaine qui lui |
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soit propre, permette cependant à l’esprit Q pas- |
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ser d’un monde à l’autre. ‘ ·, |
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III |
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De la critique du Jugement considérée comme unlien qui réunit _ A |
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les deux parties de la philosophie. |
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Lacritique des facultés deeonnaître, considérées |
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' dans ce qu’elles peuvent fournir_a priori, n’a pas . pie. |
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proprement de domaine relativement aux objets, ~· · " |
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parce qu’elle n’est pas une doctrine, mais qu’elle a ` ‘ |
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seulement àrechercher si et quand, suivantlacon— |
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dition de nos facultés, une doctrine peut être four- , |
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·_nie par ces facultés. Son champ s’étend aussi loin |
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que toutes leurs prétentions, afin de les renferme; |
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dans les limites de leur légitimité. Mais ce qui . |
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n’entre pas dans la division de la philosophie peut |
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cependant tomber, comme partie principale, sous la |
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critique de la faculté pure de connaître en géné- |
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ral, sicette faculté coptientdes principes qui n’ont |