« La Légende des siècles/« Je ne me sentais plus vivant » » : différence entre les versions
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Dans mon sauvage cœur, saignant, blessé, banni,
Calme, et de plus en plus épars dans l'infini.
==[[Page:Hugo - La Légende des siècles, 3e série, édition Hetzel, 1883.djvu/16]]==
Si j'abaisse les yeux, si je regarde l'ombre,
Je sens en moi, devant les supplices sans nombre,
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Être indulgent, pensif, tendre, clément, stupide ;
Si bien que par moments la foule me lapide.
==[[Page:Hugo - La Légende des siècles, 3e série, édition Hetzel, 1883.djvu/17]]==
C'est bien fait, certe. — Amis, je rentre en tout cela,
J'étais absent, j'arrive, et je dis : me voilà !
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[[Catégorie:Poèmes de Victor Hugo]]
==[[Page:Hugo - La Légende des siècles, 3e série, édition Hetzel, 1883.djvu/18]]==
==[[Page:Hugo - La Légende des siècles, 3e série, édition Hetzel, 1883.djvu/19]]==
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