« Page:Viollet-le-Duc - Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle, 1854-1868, tome 6.djvu/163 » : différence entre les versions
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{{ancre|Celefrouin}}Une des lanternes des morts les mieux conservées, datant du {{s|XII}}, se voit à {{DRAFL2|C|Celefrouin|Celfrouin}} (Charente)['''1'''].<includeonly>[[ |
{{ancre|Celefrouin}}Une des lanternes des morts les mieux conservées, datant du {{s|XII}}, se voit à {{DRAFL2|C|Celefrouin|Celfrouin}} (Charente)['''1'''].<includeonly>[[Fichier:Illustration fig1 6 165.png|centré|440px]]</includeonly> La petite porte qui servait à introduire, à allumer et à guinder la lampe, est relevée de trois mètres au-dessus de la plate-forme circulaire sur laquelle s’élève l’édicule ; ce qui fait supposer qu’il fallait se servir d’une échelle pour allumer cette lampe et la hisser au sommet de la cheminée. La lanterne de {{DRAFL2|C|Celefrouin|Celfrouin}}, contrairement à |
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