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Malheureusement, ces méthodes (sauf celle de la balance de Hughes qui s’applique à tous les métaux, mais ne paraît pas être entrée dans la pratique), ne sont pas applicables aux projectiles non magnétiques (éclats de laiton, de bois, de pierre, etc.), qui sont d’ailleurs les moins nombreux. S’il s’agit de corps métalliques, on peut les repérer à l’aide de sondes spéciales constituées par deux tiges métalliques accolées, mais isolées électriquement et placées sur un circuit de piles. Lorsque la sonde touche à son extrémité un objet de métal, le courant est fermé et fait fonctionner une sonnerie ou un téléphone.
Malheureusement, ces méthodes (sauf celle de la balance de Hughes qui s’applique à tous les métaux, mais ne paraît pas être entrée dans la pratique), ne sont pas applicables aux projectiles non magnétiques (éclats de laiton, de bois, de pierre, etc.), qui sont d’ailleurs les moins nombreux. S’il s’agit de corps métalliques, on peut les repérer à l’aide de sondes spéciales constituées par deux tiges métalliques accolées, mais isolées électriquement et placées sur un circuit de piles. Lorsque la sonde touche à son extrémité un objet de métal, le courant est fermé et fait fonctionner une sonnerie ou un téléphone.


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Mais les rois des agens de repérage, pour les projectiles de quelque métal qu’ils soient, sont sans conteste les rayons X. Aujourd’hui, il n’est plus une formation sanitaire de quelque importance où on ne les emploie couramment ; ils sont l’agent physique le plus constamment utilisé par le chirurgien de guerre.
Mais les rois des agens de repérage, pour les projectiles de quelque métal qu’ils soient, sont sans conteste les rayons X. Aujourd’hui, il n’est plus une formation sanitaire de quelque importance où on ne les emploie couramment ; ils sont l’agent physique le plus constamment utilisé par le chirurgien de guerre.