« Page:Jules Verne - L’Île mystérieuse.djvu/152 » : différence entre les versions
Bot : Importation automatique de pages |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<div class="pagetext"> |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
que c’est un bras puissant qui l’a lancé ainsi, et que ce même bras, armé d’un poignard, a ensuite donné la mort au dugong ! |
que c’est un bras puissant qui l’a lancé ainsi, et que ce même bras, armé d’un poignard, a ensuite donné la mort au dugong ! |
||
— Oui, répondit l’ingénieur, qui était devenu pensif. Il y a là quelque chose que je ne puis comprendre. Mais comprenez-vous davantage, mon cher Spilett, de quelle manière j’ai été sauvé moi-même, comment j’ai pu être arraché des flots et transporté dans les dunes ? Non, n’est-il pas vrai ? Aussi je pressens là quelque mystère que nous découvrirons sans doute un jour. Observons donc, mais n’insistons pas devant nos compagnons sur ces singuliers incidents. Gardons nos remarques pour nous et continuons notre besogne. » |
— Oui, répondit l’ingénieur, qui était devenu pensif. Il y a là quelque chose que je ne puis comprendre. Mais comprenez-vous davantage, mon cher Spilett, de quelle manière j’ai été sauvé moi-même, comment j’ai pu être arraché des flots et transporté dans les dunes ? Non, n’est-il pas vrai ? Aussi je pressens là quelque mystère que nous découvrirons sans doute un jour. Observons donc, mais n’insistons pas devant nos compagnons sur ces singuliers incidents. Gardons nos remarques pour nous et continuons notre besogne. » |
||
On le sait, l’ingénieur n’avait encore pu découvrir par où s’échappait le trop- |
On le sait, l’ingénieur n’avait encore pu découvrir par où s’échappait le <noinclude>trop-</noinclude> |
||
Pied de page (noinclude) : | Pied de page (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
</div> |