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M. de Cavour commence par rappeler tout ce qui a été fait en faveur de l’Irlande depuis l’émancipation des catholiques; ensuite il examine successivement, sous les divers rapports financiers, économiques, sociaux et religieux, en quoi l’union de l’Angleterre et de l’Irlande a pu être avantageuse ou contraire à ce dernier pays, et il conclut en faveur de l’union. Parlant de la question religieuse, il s’exprime ainsi :
M. de Cavour commence par rappeler tout ce qui a été fait en faveur de l’Irlande depuis l’émancipation des catholiques; ensuite il examine successivement, sous les divers rapports financiers, économiques, sociaux et religieux, en quoi l’union de l’Angleterre et de l’Irlande a pu être avantageuse ou contraire à ce dernier pays, et il conclut en faveur de l’union. Parlant de la question religieuse, il s’exprime ainsi :




« Si le rappel de l’union avait lieu, la conduite d’un parlement irlandais à l’égard de l’église anglicane ne serait pas longtemps douteuse : on la réformerait, ou plutôt on la renverserait de fond en comble. O’Connell prétend que les droits actuels des possesseurs seraient respectés. J’en doute
« Si le rappel de l’union avait lieu, la conduite d’un parlement irlandais à l’égard de l’église anglicane ne serait pas longtemps douteuse : on la réformerait, ou plutôt on la renverserait de fond en comble. O’Connell prétend que les droits actuels des possesseurs seraient respectés. J’en doute