« Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t2.djvu/238 » : différence entre les versions
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battu, elles se donnaient à l’autre <ref>Il n’y avait point de granisons dans les villes pour les contenir ; et les Romains n’avaient eu besoin d’assurer leur empire que par des armées ou des colonies. (M.)</ref> ; car il fallait que chaque ville songeât à se justifier devant le vainqueur, qui, ayant des promesses immenses à tenir aux soldats, devait leur sacrifier les pays les plus coupables. |
battu, elles se donnaient à l’autre <ref>Il n’y avait point de granisons dans les villes pour les contenir ; et les Romains n’avaient eu besoin d’assurer leur empire que par des armées ou des colonies. (M.)</ref> ; car il fallait que chaque ville songeât à se justifier devant le vainqueur, qui, ayant des promesses immenses à tenir aux soldats, devait leur sacrifier les pays les plus coupables. |
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