« La Débâcle » : différence entre les versions
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Ligne 908 :
suie qui étaient montées, là-bas, du fleuve
lointain.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 5 358 :
retrouve un pays aimé :
-tiens ! Regarde là-bas... voilà Sedan !
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 6 314 :
7e corps entra dans Sedan, ivre de fatigue, de
faim et de froid.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 8 358 :
points noirs, perdus au milieu de l’éternelle
et souriante nature.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 9 327 :
le bois lointain, où tombait une pluie lente et
silencieuse de petites branches.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 13 525 :
l’envoi d’un officier, qui pourrait traiter
de la capitulation.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 14 438 :
La nuit venait, tombait à un lugubre, un
effrayant silence.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 16 708 :
se vendaient couramment vingt francs pièce ; et il
en avait acheté trois pour quarante-cinq francs.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 17 948 :
redoutaient plus, ils en riaient, au sortir
de cet effrayant cauchemar du camp de la misère.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 22 160 :
infiniment, en étouffant sa peine entre ses
deux mains jointes.
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
Ligne 23 586 :
pas le sauver encore.
-oh ! Mon petit, mon pauvre petit !
===Chapitre
<center>'''Chapitre
'': ''
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