« Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Hugo, Pagnerre, 1868, tome 7.djvu/487 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « manifesté en sa saison eût été cause d’un très-grand bien. Pierre, pour ce qu’il avait obéi à son maître, fut laissé en sa première liberté. L’apothicaire... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
manifesté en sa saison eût été cause d’un très-grand |
manifesté en sa saison eût été cause d’un très-grand |
||
bien. Pierre, pour ce qu’il avait obéi à son maître, fut |
bien. Pierre, pour ce qu’il avait obéi à son maître, fut |
||
laissé en sa première liberté. L’apothicaire pris, |
laissé en sa première liberté. L’apothicaire pris, géhenné |
||
et convaincu fut pendu. Le bon vieillard de frère Laurens, |
et convaincu fut pendu. Le bon vieillard de frère Laurens, |
||
tant pour le regard des anciens services qu’il avait |
tant pour le regard des anciens services qu’il avait |