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En affranchissant au {{rom-maj|xiv}}{{e}} siècle le pouvoir |
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En uffrunt‘hissunt au XIVr siènlu le pouveir |
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politique des |
politique des États de la juridiction temporelle |
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de |
de Rome, en suscitant la véritable révolution |
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qui |
qui « avait ruiné sous Boniface {{rom-maj|viii|8}} la suprématie |
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absolue du Saint-Siège, fondée par Grégoire {{rom-maj|vii|7}} » |
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(Mignet), Philippe le Bel avait en |
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quelque manière facilité la |
quelque manière facilité la voie aux réformateurs. |
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Lorsque Luther eut donné le signal de la |
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révolte, la France, restée comme la Gaule « |
révolte, la France, restée comme la Gaule « curieuse |
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des nouveautés » et placée tant géographiquement |
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que politiquement à mi-chemin des |
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deux doctrines qui |
deux doctrines qui s’opposaient, la France se |
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trouva, mêlée au conflit. La |
trouva, mêlée au conflit. La pente de son caractère |
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eût incliné François {{rom-maj|i|1}}{{er}} à la tolérance, mais |
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n’ayant |
n’ayant aucun intérêt à soutenir la Réforme<ref name=p45>Les sécularisations qui jouaient un si grand rôle en |
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Allemagne ne pouvaient intéresser le roi de France qui |
Allemagne ne pouvaient intéresser le roi de France qui |
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m'ait le droit de nomination aux bénéfices. D‘autre part, la |
m'ait le droit de nomination aux bénéfices. D‘autre part, la |