« Page:Dollier de Casson - Histoire du Montréal, 1640-1672, 1871.djvu/2 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « [MANUSCRIT DE PARIS. — PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE LA SOCIÉTÉ LITTÉRAIRE ET HISTORIQUE DE QUÉBEC.] HISTOIRE DU MONTREAL.<ref>Manuscrit de Paris sans nom d’auteur,... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
[MANUSCRIT DE PARIS. — PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE LA SOCIÉTÉ
[MANUSCRIT DE PARIS. — PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE LA SOCIÉTÉ
LITTÉRAIRE ET HISTORIQUE DE QUÉBEC.]
LITTÉRAIRE ET HISTORIQUE DE QUÉBEC.]
HISTOIRE DU MONTREAL.<ref>Manuscrit de Paris sans nom d’auteur, dont copie apportée à Montréal en novembre 1845, par l’hon. L. Jos. Papineau et faite aux frais et pour la province du Canada.
{{t2|HISTOIRE DU MONTREAL.<ref>Manuscrit de Paris sans nom d’auteur, dont copie apportée à Montréal en novembre 1845, par l’hon. L. Jos. Papineau et faite aux frais et pour la province du Canada.
Ouvrage attribué à M. François Dollier de Casson, prêtre de St. Sulpice de
Ouvrage attribué à M. François Dollier de Casson, prêtre de St. Sulpice de
Paris, et troisième supérieur de Montréal.</ref>
Paris, et troisième supérieur de Montréal.</ref>|}}
1640-1072.
{{t3|1640-1072.|}}
A MESSIEURS LES INFIRMES DE SÉMINAIRE DE ST. SULPICE.<ref>Ce mémoire est assurément de M. Dollier, quoiqu’il n’en porte pas le nom, la note sur le voyage de 1669 justifie ce fait. Je n’ai pas revu ce mémoire tout de mes propres yeux, mais il m’a été relu par le copiste, pendant que je tenais
A MESSIEURS LES INFIRMES DE SÉMINAIRE DE ST. SULPICE.<ref>Ce mémoire est assurément de M. Dollier, quoiqu’il n’en porte pas le nom, la note sur le voyage de 1669 justifie ce fait. Je n’ai pas revu ce mémoire tout de mes propres yeux, mais il m’a été relu par le copiste, pendant que je tenais
l’original en mains. Comme cela s’est fait la nuit, quelques erreurs seront peut-être restées, toutefois je puis dire que la copie sera plus lisible quoiqu’il y ait, plus claire, mieux orthographiée que l’œuvre de M. Dollier, souvent indéchiffrable. —août 20, 4h du matin.</ref>
l’original en mains. Comme cela s’est fait la nuit, quelques erreurs seront peut-être restées, toutefois je puis dire que la copie sera plus lisible quoiqu’il y ait, plus claire, mieux orthographiée que l’œuvre de M. Dollier, souvent indéchiffrable. —août 20, 4h du matin.</ref>


Je vous envoie, messieurs, celte relation afin qu’elle vous serve d’un vaisseau fort commode pour venir au Montréal sans que vous ayez besoin pour cela de remèdes pour disposer vos corps aux rigueurs du voyage. Si vous êtes incommodés d’un mal de mer importun, ne craignez pas les soulliers en ce trajet car le branlement de ce navire n’augmentera aucunement vos douleurs : si vous avez l’estomac faible et que vous appréhendiez par trop les maux de cœur que cause ordinairement une mer agitée, fiez-vous sur ma parole, tournez hardiment ce feuillet et vous embarquez
Je vous envoie, messieurs, celte relation afin qu’elle vous serve d’un vaisseau fort commode pour venir au Montréal sans que vous ayez besoin pour cela de remèdes pour disposer vos corps aux rigueurs du voyage. Si vous êtes incommodés d’un mal de mer importun, ne craignez pas les soulliers en ce trajet car le branlement de ce navire n’augmentera aucunement vos douleurs : si vous avez l’estomac faible et que vous appréhendiez par trop les maux de cœur que cause ordinairement une mer agitée, fiez-vous sur ma parole, tournez hardiment ce feuillet et vous embarquez
<references/>
'''Notes :'''
</references>