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attentif à la « première peur » en raison des traces musculo-nerveuses qu’elle peut laisser. La peur commence, pour le cavalier, avec le désir de mettre pied à terre ; si elle ne s’accompagne pas de ce désir, elle est sans portée et sans lendemain. Le « sauteur » qu’on a supprimé des manèges avait, à cet égard, une bonne influence<ref name=p87-1>Voir Essais de Psychologie sportive, p. 66.</ref>. L’endurance est aussi productrice |
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musculo-nerveuses qu’elle peut laisser. La peur |
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commence, l ?Our le cavalier, avec le désir de mettre |
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pied à terre ; si elle ne s’accompagne pas de ce désir, |
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elle est sans portée et sans lendemain. Le cc sauteur » |
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qu’on a supprimé des manèges avait, à cet égard, une |
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bonne influence<ref name=p87-1>Voir Essais de Psychologie sportive, p. 66.</ref>. L’endurance est aussi productrice |
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de confiance ; les séances d’équitation sont |
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beaucoup trop courtes ; les jeunes gens devraient être |
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