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— Prenez donc un livre, lui dit la bergère. |
— Prenez donc un livre, lui dit la bergère. |
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— Je n’aime pas la lecture, lui répondit Aurore |
— Je n’aime pas la lecture, lui répondit Aurore, en rougissant. |
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C’est qu’elle était honteuse d’avouer à la fée, qu’elle ne savait pas lire comme il faut. |
C’est qu’elle était honteuse d’avouer à la fée, qu’elle ne savait pas lire comme il faut. Il fallut pourtant avouer la vérité : et elle dit à la bergère, qu’elle n’avait jamais voulu apprendre à lire quand elle était petite, et qu’elle n’en avait pas eu le temps quand elle était devenue grande. |
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— Vous aviez donc de grandes affaires, lui dit la bergère. |
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— Oui, ma mère, répondit Aurore. J’allais me promener tous les matins avec mes bonnes amies ; après dîner je me coiffais ; le soir, je restais à notre assemblée, et puis j’allais à l’opéra, à la comédie, et la nuit, j’allais au bal. |
— Oui, ma mère, répondit Aurore. J’allais me promener tous les matins avec mes bonnes amies ; après dîner je me coiffais ; le soir, je restais à notre assemblée, et puis j’allais à l’opéra, à la comédie, et la nuit, j’allais au bal. |