« Page:Doucet - Moïse Joessin, 1918.djvu/78 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> {{astérisme}} Ceux qui n’endurent que leur propre souffrance ne font face qu’à maintes difficultés humaines, pas plus. Les malheureux du bonheur des a... »
(Aucune différence)

Version du 18 octobre 2017 à 09:04

Cette page n’a pas encore été corrigée
— 76 —

Ceux qui n’endurent que leur propre souffrance ne font face qu’à maintes difficultés humaines, pas plus.

Les malheureux du bonheur des autres ressentent au cœur, croit-on, des brûlures infernales.

Ceux qui sont plus qu’humains, s’éloignent des choses humaines, mais les comprennent de plus en plus, comme le peintre qui se recule des objets d’étude pour avoir une idée d’ensemble.

L’art, c’est l’art. L’art c’est la perfection rêvée et obtenue. C’est d’être parfaitement soi-même mais comme l’influence de toute relation nous modifie, on n’est pas toujours soi-même, mais quand un homme est son propre maître, il n’est pas surpassé dans son genre : et ceci s’adresse à tous.

Quand un homme s’entend très bien battre le cœur, qu’il se comprend très bien et qu’il traduit