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Où est ma mère ? Eh bien, elle est à la maison : où veux-tu qu’elle soit ? Que tu réponds singulièrement ! |
— Où est ma mère ? Eh bien, elle est à la maison : — où veux-tu qu’elle soit ? Que tu réponds singulièrement ! — ''Votre bien-aimé parle en gentilhomme loyal, — où est votre mère ?'' |
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Oh ! Notre-Dame du bon Dieu ! |
Oh ! Notre-Dame du bon Dieu ! — Êtes-vous à ce point brûlante ? Pardine, échauffez-vous encore : — est-ce là votre cataplasme pour mes pauvres os ? — Dorénavant, faites vos messages vous-même ! |
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Que d’embarras !… Voyons, que dit Roméo ? |
— Que d’embarras !… Voyons, que dit Roméo ? |
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Avez-vous permission d’aller à confesse aujourd’hui ? |
— Avez-vous la permission d’aller à confesse aujourd’hui ? |
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Eh bien, courez de ce pas à la cellule de frère Laurence : un mari vous y attend pour faire de vous sa femme. Ah bien ! voilà ce fripon de sang qui vous vient aux joues : bientôt elles deviendront écarlates à la moindre nouvelle. Courez à l’église ; moi, je vais d’un autre côté, chercher l’échelle par laquelle votre bien-aimé doit grimper jusqu’au nid de l’oiseau, dès qu’il fera nuit noire. C’est moi qui suis la bête de somme, et je m’épuise pour votre plaisir ; mais, pas plus tard que ce soir, ce sera vous qui porterez le fardeau. Allons je vais dîner ; courez vite à la cellule. |
— Eh bien, courez de ce pas à la cellule de frère Laurence : — un mari vous y attend pour faire de vous sa femme. — Ah bien ! voilà ce fripon de sang qui vous vient aux joues : — bientôt elles deviendront écarlates à la moindre nouvelle. — Courez à l’église ; moi, je vais d’un autre côté, — chercher l’échelle par laquelle votre bien-aimé — doit grimper jusqu’au nid de l’oiseau, dès qu’il fera nuit noire. — C’est moi qui suis la bête de somme, et je m’épuise pour votre plaisir ; — mais, pas plus tard que ce soir, ce sera vous qui porterez le fardeau. — Allons je vais dîner ; courez vite à la cellule. |
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Vite au bonheur suprême !… Honnête nourrice, adieu. |
— Vite au bonheur suprême !… Honnête nourrice, adieu. |
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