« Page:Aimard - La Loi de Lynch, 1859.djvu/393 » : différence entre les versions

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C’était une chose si extraordinaire que de voir rire Curumilla, l’heure lui paraissait tellement insolite, que Valentin en fut effrayé, et dans le premier moment il ne fut pas loin de croire que son digne ami était subitement devenu fou.
C’était une chose si extraordinaire que de voir rire Curumilla, l’heure lui paraissait tellement insolite, que Valentin en fut effrayé, et dans le premier moment il ne fut pas loin de croire que son digne ami était subitement devenu fou.


— Ah çà ! chef, lui dit-il en regardant de tous les côtés, me direz-vous pourquoi vous nez ainsi ? Quand ce ne serait que pour vous imiter^ je ne serais pas fâché de connaître la cause de cette grande gaieté.
— Ah çà ! chef, lui dit-il en regardant de tous les côtés, me direz-vous pourquoi vous nez ainsi ? Quand ce ne serait que pour vous imiter, je ne serais pas fâché de connaître la cause de cette grande gaieté.


Curumilla fixa sur son ami son œil intelligent et lui répondit avec un sourire plein de bonne humeur :
Curumilla fixa sur son ami son œil intelligent et lui répondit avec un sourire plein de bonne humeur :


— L’{{lang|arn|Ulmen}} est content.
— L’Ulmen est content.


— Je le vois bien, reprit Valentin ; seulement j’ignore pourquoi et je voudrais le savoir.
— Je le vois bien, reprit Valentin ; seulement j’ignore pourquoi et je voudrais le savoir.