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Iannik Skolan s’en revenait chez lui, son bâton crochu à la |
Iannik Skolan s’en revenait chez lui, son bâton crochu à la main : — Petite Morised, vous chantez bien gaiement ; vous me donnerez un baiser. |
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main : — Petite Morised, vous chantez bien gaiement; vous me |
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donnerez un baiser. |
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— Je ne vous donnerai point de baiser ; vous êtes un méchant garçon, s’il en est au monde. — |
— Je ne vous donnerai point de baiser ; vous êtes un méchant garçon, s’il en est au monde. — |
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Si bien qu’elle tomba baignée dans son sang, les yeux fermés. |
Si bien qu’elle tomba baignée dans son sang, les yeux fermés. |
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Il y avait sept ou huit jours que son père n’était revenu à la |
Il y avait sept ou huit jours que son père n’était revenu à la maison ; vers onze heures ou midi, son père arriva. |
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maison ; vers onze heures ou midi, son père arriva. |
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— Pauvres enfants, dites-moi, qu’avez-vous tous, quand vous |
— Pauvres enfants, dites-moi, qu’avez-vous tous, quand vous êtes si désolés ? Et votre sœur, où est-elle allée ? |
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êtes si désolés ? Et votre sœur, où est-elle allée ? |
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— Vous l’apprendrez assez tôt ! |
— Vous l’apprendrez assez tôt ! |
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Vous apprendrez assez tôt ce qui est arrivé à notre sœur |
Vous apprendrez assez tôt ce qui est arrivé à notre sœur Morised ; elle est là-bas, près de la prairie, nageant dans son sang. |
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Morised ; elle est là-bas, près de la prairie, nageant dans son |
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sang. |
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C’est le tisserand qui l’a tuée ! Depuis votre départ, il cherchait à la porter au péché ; c’est le tisserand qui l’a tuée. |
C’est le tisserand qui l’a tuée ! Depuis votre départ, il cherchait à la porter au péché ; c’est le tisserand qui l’a tuée. |