« Page:Pierre de Coubertin - Anthologie, 1933.djvu/127 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 11 : | Ligne 11 : | ||
{{g|{{t|{{Souligner|'''La réforme de la presse.'''}}|110}}|0}} |
{{g|{{t|{{Souligner|'''La réforme de la presse.'''}}|110}}|0}} |
||
{{interligne}} |
{{interligne}} |
||
{{corr|.....|…}}Des circonstances atténuantes, oh ! certes, il y en a. Parce qu’une institution a déchu, on n’est pas autorisé d’ailleurs à en rendre responsable en bloc la corporation qui en a la garde. Il faut avoir d’abord opéré le décompte des pesées extérieures dont cette corporation est peut être la victime. |
{{corr|.....|…}} Des circonstances atténuantes, oh ! certes, il y en a. Parce qu’une institution a déchu, on n’est pas autorisé d’ailleurs à en rendre responsable en bloc la corporation qui en a la garde. Il faut avoir d’abord opéré le décompte des pesées extérieures dont cette corporation est peut être la victime. |
||
{{corr|.....|…}}Beaucoup des fautes pour lesquelles la presse contemporaine mérite d’être censurée, sont de simples répercussions dans un milieu spécial de fautes générales où chaque pays, chaque race, chaque catégorie sociale ont leur part de culpabilité. Ces coupables eux-mêmes ont droit à quelque indulgence du fait {{tiret|d’événe|ment}}<section end="s2"/> |
{{corr|.....|…}} Beaucoup des fautes pour lesquelles la presse contemporaine mérite d’être censurée, sont de simples répercussions dans un milieu spécial de fautes générales où chaque pays, chaque race, chaque catégorie sociale ont leur part de culpabilité. Ces coupables eux-mêmes ont droit à quelque indulgence du fait {{tiret|d’événe|ment}}<section end="s2"/> |
||