« Hymnes homériques » : différence entre les versions

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== À Apollon ==
 
Je me souviendrai toujours de l'Archer Apollon, et je ne l'oublierai jamais, lui que les Dieux eux-mêmes redoutent, quand il marche dans la demeure de Zeus ; et, certes, tous se lèvent de leurs sièges à son approche, quand il tend son arc illustre. Lètô reste seule auprès de Zeus qui se réjouit de la foudre. Elle détend le nerf, elle ferme le carquois, et, l'ayant retiré des robustes épaules du Dieu, elle suspend l'arc le long d'une colonne de la demeure paternelle, à un clou d'or ; et, conduisant Apollon, elle le fait asseoir sur un thrône.
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== À Hèraklès CoeurCœur-de-Lion ==
 
Je chanterai Hèraklès, fils de Zeus, le plus brave des hommes terrestres, et qu'enfanta Alkmènè, dans Thèbè aux beaux choeurs, s'étant unie au Kroniôn qui amasse les nuées.
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== À Poseidaôn ==
 
Je commence à chanter sur Poseidaôn, le grand Dieu, qui ébranle la terre et la mer stérile, qui possède Aigas et le Hélikôn.
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== Aux Muses et à Apollon ==
 
Je commencerai par les Muses, par Apollon et par Zeus. En effet, les Aoides et les Kitharistes, sur la terre, viennent des Muses et de l'Archer Apollon ; mais les Rois viennent de Zeus. Et il est heureux celui que les Muses aiment ! Une voix suave coule de sa bouche.
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== À Histiè et à Hermès ==
 
Histiè, qui, dans les hautes demeures de tous les Dieux immortels et des hommes qui marchent sur la terre, as reçu en partage un siège éternel, honneur antique ! Tu as cette belle récompense et cet honneur, car, à la vérité, il n'y aurait point sans toi de festins chez les mortels. C'est par Histiè que chacun commence et finit, en faisant des libations de vin mielleux.
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== À Gaia, Mère de Tous ==
 
Je chanterai Gaia, Mère de tous, aux solides fondements, très antique, et qui nourrit sur son sol toutes les choses qui sont. Et tout ce qui marche sur le sol divin, tout ce qui nage dans la mer, tout ce qui vole, se nourrit de tes richesses, ô Gaia !
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== Aux Dioskoures ==
 
Muses aux paupières arrondies, parlez-moi des Dioskoures Tyndarides, illustres enfants de Lèda aux beaux talons, Kastôr dompteur de chevaux et l'irréprochable Polydeukès.