« Page:Leroy-Beaulieu, Essai sur la répartition des richesses, 1881.djvu/421 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|alimenta|tion}} ou entretien, ce cheval-vapeur dont la puissance égale celle de trois chevaux de trait et dépasse celle de vingt hommes de peine<ref>Voir l’a... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 7 : Ligne 7 :
Pour répondre à ces critiques, qui ne sont pas, d’ailleurs, sans quelque fondement dans la période chaotique et {{corr|anarchichique|anarchique}} d’installation de la grande industrie, période qui n’est pas encore complètement terminée, il faut autre chose que les banalités vides où se sont trop souvent complus les économistes contemporains.
Pour répondre à ces critiques, qui ne sont pas, d’ailleurs, sans quelque fondement dans la période chaotique et {{corr|anarchichique|anarchique}} d’installation de la grande industrie, période qui n’est pas encore complètement terminée, il faut autre chose que les banalités vides où se sont trop souvent complus les économistes contemporains.


L’industrialisme, puisqu’il faut employer ce vilain mot, n’aurait servi qu’à une plus inégale distribution des richesses. C’est cette théorie que Proudhon entre autres a développée avec sa verve habituelle : « Un fait à signaler, dit-il, c’est que depuis « l’impulsion exorbitante donnée aux entreprises, certains en
L’industrialisme, puisqu’il faut employer ce vilain mot, n’aurait servi qu’à une plus inégale distribution des richesses. C’est cette théorie que Proudhon entre autres a développée avec sa verve habituelle : « Un fait à signaler, dit-il, c’est que depuis l’impulsion exorbitante donnée aux entreprises, certains {{tiret|en|tremetteurs}}