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Pour répondre à ces critiques, qui ne sont pas, d’ailleurs, sans quelque fondement dans la période chaotique et {{corr|anarchichique|anarchique}} d’installation de la grande industrie, période qui n’est pas encore complètement terminée, il faut autre chose que les banalités vides où se sont trop souvent complus les économistes contemporains. |
Pour répondre à ces critiques, qui ne sont pas, d’ailleurs, sans quelque fondement dans la période chaotique et {{corr|anarchichique|anarchique}} d’installation de la grande industrie, période qui n’est pas encore complètement terminée, il faut autre chose que les banalités vides où se sont trop souvent complus les économistes contemporains. |
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L’industrialisme, puisqu’il faut employer ce vilain mot, n’aurait servi qu’à une plus inégale distribution des richesses. C’est cette théorie que Proudhon entre autres a développée avec sa verve habituelle : « Un fait à signaler, dit-il, c’est que depuis |
L’industrialisme, puisqu’il faut employer ce vilain mot, n’aurait servi qu’à une plus inégale distribution des richesses. C’est cette théorie que Proudhon entre autres a développée avec sa verve habituelle : « Un fait à signaler, dit-il, c’est que depuis l’impulsion exorbitante donnée aux entreprises, certains {{tiret|en|tremetteurs}} |