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bien ce qui en sera. En attendant, à en croire l’apparence des choses, |
bien ce qui en sera. En attendant, à en croire l’apparence des choses, |
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on n’en est pas aux agitations, aux grands conflits, aux perspectives |
on n’en est pas aux agitations, aux grands conflits, aux perspectives |
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troublantes. |
troublantes. Il y a certainement partout assez d’affaires, assez de problèmes |
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délicats ou profonds pour alimenter les discours et les polémiques, |
délicats ou profonds pour alimenter les discours et les polémiques, |
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pour tenir en éveil la vigilance soucieuse des esprits réfléchis et |
pour tenir en éveil la vigilance soucieuse des esprits réfléchis et |
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prévoyans.On ne se hâte pas de s’émouvoir de tout ; le goût de la paix, |
prévoyans. On ne se hâte pas de s’émouvoir de tout ; le goût de la paix, |
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qui est universel, est aussi une force. C’est le goût du moment, — et |
qui est universel, est aussi une force. C’est le goût du moment, — et |
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pour la France particulièrement, pour la France qui entre avec toute |
pour la France particulièrement, pour la France qui entre avec toute |
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elles l’ont à peine effleurée. Est-ce parce que l’expression d’un |
elles l’ont à peine effleurée. Est-ce parce que l’expression d’un |
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suffrage limité et partiel est moins saisissante, moins faite pour intéresser |
suffrage limité et partiel est moins saisissante, moins faite pour intéresser |
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le pays ? Est-ce parce que d’avance on n’attendait rien d’extraor |
le pays ? Est-ce parce que d’avance on n’attendait rien {{tiret|d’extraor|dinaire}} |