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{{d|{{sc|[[:w:Claudien|Claud.]]}}, in Rufin, l. {{rom2|II|2}}, 28-35.}}''Voyez'' aussi [[:w:Flavius Eutropius|Eutrope]] (l. {{rom2|I|1}}, 243-251) et la vigoureuse Description de [[:w:Jérôme de Stridon|saint Jérôme]], qui écrivait d’après sa propre, manière de sentir (t. {{rom2|I|1}}, p. 26{{corr||,}} ''ad'' Héliodor., p. 200 ; ''ad'' Océan) ; [[:w:Philostorge|Philostorgius]] (l. {{rom2|IX|9}}, c. 8) parle de cette invasion.</ref> ; ils s’étaient avancés, par un chemin secret, le long des côtes de la [[:w:mer Caspienne|mer Caspienne]], avaient traversé les montagnes de l’[[:w:Royaume d'Arménie|Arménie]] en tout temps couvertes de neige, et passé le [[:w:Tigre (fleuve)|Tigre]], l’[[:w:Euphrate|Euphrate]] et le [[:w:Kızılırmak (fleuve)|Halys]] ; ils avaient remonté leur cavalerie fatiguée {{tiret|d’excel|lens}}<ref follow=p250>sujets ; et sa tragédie s’ouvre par ces deux vers ridicules : |
{{d|{{sc|[[:w:Claudien|Claud.]]}}, in Rufin, l. {{rom2|II|2}}, 28-35.}}''Voyez'' aussi [[:w:Flavius Eutropius|Eutrope]] (l. {{rom2|I|1}}, 243-251) et la vigoureuse Description de [[:w:Jérôme de Stridon|saint Jérôme]], qui écrivait d’après sa propre, manière de sentir (t. {{rom2|I|1}}, p. 26{{corr||,}} ''ad'' Héliodor., p. 200 ; ''ad'' Océan) ; [[:w:Philostorge|Philostorgius]] (l. {{rom2|IX|9}}, c. 8) parle de cette invasion.</ref> ; ils s’étaient avancés, par un chemin secret, le long des côtes de la [[:w:mer Caspienne|mer Caspienne]], avaient traversé les montagnes de l’[[:w:Royaume d'Arménie|Arménie]] en tout temps couvertes de neige, et passé le [[:w:Tigre (fleuve)|Tigre]], l’[[:w:Euphrate|Euphrate]] et le [[:w:Kızılırmak (fleuve)|Halys]] ; ils avaient remonté leur cavalerie fatiguée {{tiret|d’excel|lens}}<ref follow=p250>sujets ; et sa tragédie s’ouvre par ces deux vers ridicules : |
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<poem class=verse>Ils ne sont pas venus nos deux rois ! qu’on leur die |
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Qu’ils se font trop attendre, et qu’Attila s’ennuie.</poem> |
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Les deux rois sont peints comme de profonds politiques et de tendres amans ; et toute la pièce ne présente que les défauts du poète sans en montrer le génie.</ref> |
Les deux rois sont peints comme de profonds politiques et de tendres amans ; et toute la pièce ne présente que les défauts du poète sans en montrer le génie.</ref> |