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Oui, de par Zeus ! |
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Je suis réduit à rien. |
Je suis réduit à rien. |
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Pas de souci, cher père : relève-toi. |
Pas de souci, cher père : relève-toi. |
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Comment, en face de moi-même, supporterai-je l’idée d’avoir absous un |
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accusé ? Qu’adviendra-t-il de moi ? O dieux vénérés, accordez-moi mon |
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pardon : c’est malgré moi que je l’ai fait : ce n’est pas mon habitude. |
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Comment, en face de moi-même, supporterai-je l’idée d’avoir absous un accusé ? Qu’adviendra-t-il de moi ? Ô dieux vénérés, accordez-moi mon pardon : c’est malgré moi que je l’ai fait : ce n’est pas mon habitude. |
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Ne te fâche pas. Moi je veux, mon père, te bien nourrir, te mener avec |
Ne te fâche pas. Moi je veux, mon père, te bien nourrir, te mener avec moi partout, aux dîners, aux banquets, aux spectacles, de manière à passer agréablement le reste de ta vie. Hyperbolos ne te rira plus au nez en te dupant, mais entrons. |
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moi partout, aux dîners, aux banquets, aux spectacles, de manière à |
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passer agréablement le reste de ta vie. Hyperbolos ne te rira plus au |
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nez en te dupant, mais entrons. |
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Oui, maintenant, si bon te semble. |
Oui, maintenant, si bon te semble. |
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Oui, allez gaiement où vous voulez. |
Oui, allez gaiement où vous voulez. |
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Pour vous, myriades incalculables, les bonnes choses qu’on va vous |
Pour vous, myriades incalculables, les bonnes choses qu’on va vous dire maintenant, gardez-vous de les laisser négligemment tomber par terre. C’est affaire à des spectateurs inintelligents, et non pas à vous. |
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dire maintenant, gardez-vous de les laisser négligemment tomber par |
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terre. C’est affaire à des spectateurs inintelligents, et non pas à vous. |