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complice de Brasidas, toi qui portes des franges de laine et qui |
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nourris une épaisse moustache ! |
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Hé ! par Zeus ! mieux vaudrait pour moi abandonner tout à fait mon père, |
Hé ! par Zeus ! mieux vaudrait pour moi abandonner tout à fait mon père, que de lutter chaque jour contre des flots si orageux. |
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que de lutter chaque jour contre des flots si orageux. |
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Et pourtant tu n’en es qu’au persil et à la rue, pour nous servir d’un |
Et pourtant tu n’en es qu’au persil et à la rue, pour nous servir d’un terme emprunté aux marchands de vin. Maintenant, en effet, tu n’as rien à souffrir, mais tu verras quand l’accusateur entassera contre toi ces mêmes griefs et citera tes complices. |
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terme emprunté aux marchands de vin. Maintenant, en effet, tu n’as |
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rien à souffrir, mais tu verras quand l’accusateur entassera contre |
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toi ces mêmes griefs et citera tes complices. |
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Enfin, au nom des dieux, est-ce que vous n’allez pas me débarrasser |
Enfin, au nom des dieux, est-ce que vous n’allez pas me débarrasser de vous ? Avez-vous résolu que moi j’éreinte et que vous soyez éreintés tout le jour ? |
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de vous ? Avez-vous résolu que moi j’éreinte et que vous soyez éreintés |
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tout le jour ? |
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Non, jamais, tant qu’il me restera le souffle, au lieu que tu aspires |
Non, jamais, tant qu’il me restera le souffle, au lieu que tu aspires à nous tyranniser. |
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à nous tyranniser. |
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Comme tout est pour vous tyrannie et conspirations, quelle que soit l’affaire, grande ou petite, mise en cause ! Pour moi, je n’ai pas entendu ce mot durant cinquante années. Aujourd’hui, il est plus commun que le poisson salé. C’est au point qu’il roule dans toute l’Agora. Si |
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Comme tout est pour vous tyrannie et conspirations, quelle que soit |
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l’affaire, grande ou petite, mise en cause ! Pour moi, je n’ai pas |
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entendu ce mot durant cinquante années. Aujourd’hui, il est plus |
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commun que le poisson salé. C’est au point qu’il roule dans toute |
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