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vienne vers moi. Mon fils, mon enfant, sors de la maison ; entends la voix de ton père. |
vienne vers moi. Mon fils, mon enfant, sors de la maison ; entends la voix de ton père. |
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Le voici. |
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Ami, ami ! |
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Prends ton fils, et va-t’en. |
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⚫ | Ô mon fils ! Oh ! oh ! Quelle joie je goûte tout d’abord à voir ce teint ! Maintenant, à te voir, tu es tout de suite un homme prêt à nier, à contredire. C’est franchement chez toi une fleur du terroir que ces mots : « Qu’as-tu à dire ? » et cette apparence d’offensé quand on offense et qu’on fait tort aux autres ; je vois cela. Tu as sur ton visage le regard attique. Maintenant vois à me sauver, puisque c’est toi qui m’as perdu. |
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Qu’est-ce que la lune vieille et nouvelle ? |