« Épodes (Horace, Séguier) » : différence entre les versions

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[[Catégorie:Poèmes]]
[[la:Carmina (Horatius)]]
 
==__MATCH__:[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/191]]==
 
 
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Moi, que ferai-je, heureux quand tu subsistes,
Infortuné si tu péris ?
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/192]]==
<poem>
A des loisirs qui sans toi seront tristes
Dois-je résigner mes esprits,
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Pour l'enfouir, comme un Chrémès sordide,
Ou le perdre en jeune insensé.</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/193]]==
 
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Lorsque l'automne élève son trophée
De fruits brillants et savoureux.
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/194]]==
<poem>
Que bien il cueille et la poire greffée
Et le raisin aux tons pourpreux !
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Au dolion puise un vin d'une feuille,
Serve des mets inachetés :
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/195]]==
<poem>
Non, de Lucrin les parfaits coquillages,
Ni le turbot, ni le sarget,
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Il fit rentrer aux Ides ses écus....
Pour les replacer aux Calendes.</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/196]]==
 
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{{T3|IV — Contre Védius Rufus}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/197]]==
 
<poem>Autant l'agneau par instinct hait les loups,
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{{T3|V — Contre la magicienne Canidie}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/198]]==
 
<poem>« Au nom des dieux qui de là-haut gouvernent
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Des os repris à quelque chienne immonde:
Tout s'embrase aux feux de Colchos.
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/199]]==
<poem>
Sagane alors, robe troussée, hispide
Comme un oursin, un sanglier
Ligne 229 ⟶ 246 :
Venez, venez, sur des toits ennemis
Tournez votre ire et vos justices !
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/200]]==
<poem>
Aux bois affreux alors qu'avec délices
Gisent les fauves endormis,
Ligne 259 ⟶ 279 :
Ici l'enfant n'adressa plus de vœux
Ni de soupirs à ces infâmes;
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/201]]==
<poem>
Mais, concentrant son âme dans sa voix,
Il éclate en nouveau Thyeste:
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<poem>Pourquoi vexer des étrangers paisibles,
Chien sans vigueur devant les loups?
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/202]]==
<poem>
Tourne vers moi tes menaces risibles,
Mords, si tu peux, qui rend les coups.
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Mais faire voir, le Parthe le souhaite,
Rome-expirant grâce aux Latins.
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/203]]==
<poem>
Jamais entre eux de rage si complète
Loups ni lions ne sont atteints.
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Las ! des Romains, ô fabuleuses scènes !
D’une femme soldats soumis,
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/204]]==
<poem>
Osent porter et le casque et l'épée,
Sous des castrats à flasques peaux,
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{{T3|X — Contre Mévius}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/205]]==
 
<poem>Ce vaisseau part sous un mauvais auspice:
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Que l’Eurus noir sur les flots turbulents
Disperse rames et cordages.
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/206]]==
<poem>
Que le Nord souffle ainsi qu'aux monts sauvages
Lorsqu'il brise les pins tremblants.
Ligne 403 ⟶ 439 :
Comme autrefois, des chansons:
Vénus me tient sous son empire,
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/207]]==
<poem>
 
Et me choisit, entre ses nourrissons,
Pour aimer avec délire
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Honteux de pareils rivaux,
Je finis ces luttes stériles ! »
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/208]]==
<poem>
 
Après l’éclat de sentiments si beaux:
« Rejoins tes lares tranquilles »,
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Jupiter fond en pluie, en neige.
Sous Éole et son cortège
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/209]]==
<poem>
Mugissent mer et bois. Amis, saisissons mieux
L'occasion au vol rapide:
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{{T3|XIV — À Mécène}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/210]]==
 
<poem>Ami, c'est me tuer que demander sans cesse
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{{T3|XV — À Néère}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/211]]==
 
<poem>C'était la nuit, Phébé dans le clair firmament
Ligne 535 ⟶ 582 :
Tu peux avoir troupeaux et maint vaste domaine ;
Par le Pactole être doré
 
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/212]]==
<poem>
D'Euphorbe-Pythagore en familier t'inscrire,
Vaincre en prestance Niréus,
Ligne 559 ⟶ 610 :
Vous cherchez tous peut-être, ou du moins les plus sages,
Par quel moyen échapper à ces maux ?
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/213]]==
<poem>
Eh bien, que nul avis sur le mien ne prévale:
Comme jadis, en leur mâle courroux,
Ligne 589 ⟶ 643 :
Où l’arbre de Pallas prodigue son olive,
Où du figuier le fruit est incessant,
 
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/214]]==
<poem>
Où le chêne distille un doux miel, où l'eau vive
Du haut des monts tombe en retentissant.
Ligne 612 ⟶ 670 :
{{T3|XVII — Horace et Canidie}}
{{Centré|HORACE}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/215]]==
HORACE}}
 
<poem>Enfin je cède à ton art tout-puissant !
Ligne 636 ⟶ 696 :
De mes os secs émigre la jouvence ;
Ma peau se ride, et mes traits sont blêmis.
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/216]]==
<poem>
Sous tes odeurs blanchit ma chevelure,
Aucun repos n'allège mon tourment ;
Ligne 668 ⟶ 731 :
 
{{Centré|CANIDIE}}
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/217]]==
 
<poem>De vains appels pourquoi me fatiguer ?
Ligne 694 ⟶ 758 :
Quoi ! sous ma main la cire marche et vit, —
Tu le sais bien, argus ! — du divin pôle
 
</poem>
==[[Page:Horace - Odes, Épodes et Chants séculaires, Séguier, 1883.djvu/218]]==
<poem>
Je peux, d'un cri, jeter la lune à bas,
Je puis des morts animer les reliques,