« Reliquaire, poésies/Accroupissements » : différence entre les versions
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<poem>Bien tard, quand il se sent l’estomac écœuré,
Le frère Milotus un œil à la lucarne
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Car il lui faut, le poing à l’anse d’un pot blanc,
A ses reins largement retrousser sa chemise !
</poem>
==[[Page:Rimbaud - Reliquaire, poésies, Genonceaux, 1891.djvu/99]]==
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Or, il s’est accroupi, frileux, les doigts de pied
Repliés, grelottant au clair soleil qui plaque
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…
</poem>
==[[Page:Rimbaud - Reliquaire, poésies, Genonceaux, 1891.djvu/100]]==
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Et le soir, aux rayons de lune, qui lui font
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