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n Ceux, qui habitent entre le Mérou et le Mandara près des bords charmants de la rivière Çaîlodâ, ombragée par les bambous, qui murmurent au souffle du vent, 1858. |
n Ceux, qui habitent entre le Mérou et le Mandara près des bords charmants de la rivière Çaîlodâ, ombragée par les bambous, qui murmurent au souffle du vent, 1858. |
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» Les Khasas, les Ékasanas, les Arhas, les Pradaras, les Dîrghavénous, les Pâradas et les Koulindas, les Tanganas et les Paratanganas, ''de qui'' les rois en troupes lui apportaient, à mesurer au boisseau, de l’or pipîlika, ainsi nommé parce qu’il est extrcüt du sable par les fourmis plpîlikas ; |
» Les Khasas, les Ékasanas, les Arhas, les Pradaras, les Dîrghavénous, les Pâradas et les Koulindas, les Tanganas et les Paratanganas, ''de qui'' les rois en troupes lui apportaient, à mesurer au boisseau, de l’or pipîlika, ainsi nommé parce qu’il est extrcüt du sable par les fourmis plpîlikas ; 1859-1860. |
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» ''Tous ces peuples'' offraient de beaux chasse-mouches, les uns noirs, les autres blancs et pareils à la lune, une masse énorme d’un miel exquis, né des fleurs de l’Himâlaya. » |
» ''Tous ces peuples'' offraient de beaux chasse-mouches, les uns noirs, les autres blancs et pareils à la lune, une masse énorme d’un miel exquis, né des fleurs de l’Himâlaya. » |
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Les Kourous du nord firent hommage de guirlandes composées avec la plante Ambou et de simples à la plus |
Les Kourous du nord firent hommage de guirlandes composées avec la plante Ambou et de simples à la plus |
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haute vertu, recueillies sur le flanc septentrional du Kaîlâsa. |
haute vertu, recueillies sur le flanc septentrional du Kaîlâsa. 1861-1862. |
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» Les rois montagnards, apportant d’autres choses en tribut au souverain Adjâtaçatrou, attendent, inclinés devant sa porte, le moment, où ils seront admis. 1803. |
» Les rois montagnards, apportant d’autres choses en tribut au souverain Adjâtaçatrou, attendent, inclinés devant sa porte, le moment, où ils seront admis. 1803. |